Y’avait l’araignée du matin
Et puis la toile qu’elle tisse
Y’avait l’araignée du matin …
Et les appels des lendemains
Et cet espoir qu’ils hissent
Y’avaient des filles, brunes ou bien blondes
Pas en dire davantage
Y’avaient des filles, brunes ou bien blondes …
On avait découvert un monde
On était mais sans âge
Bien sûr que tout n’est pas perdu
Les murs blancs, la cantine
Bien sûr que tout n’est pas perdu …
Quelques visages et quelques culs
Les chansons de Springsteen
Et une fille rousse
ni blonde ni brune
qui doit avoir à peu près le même âge
celui des souvenirs tendres enrobés de satin
le satin blanc des nuits
et qui rêve au bord du bar
Aux aventures sans lendemain de sa jeunesse
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Encore une fois, ton poème complète au mieux.
Je ne sais pas ce que j’ai voulu. Peut-être dire que les lendemains auraient pu et dû être autres, sinon meilleurs.
Bises Célestine. Il y avaient des jolies rousses aussi.
Got the morning spider blues
Feel like a fly into the web
Lost the girls in front of white walls
Got a friend who says that everything ‘s not lost
I’m scared, I’m scared that my friend, for once, could be wrong.
Got a moody, moody blues
Third friend, a woman… and we dream of white satin.
Oh my friends
With your dream of white satin
You come now to change my mind
And I can float on others memories
Left on the bank this sad mood