Quand réapparaîtra le jour
La furie reprendra son cours
La nuit se pare d’un autre voile
De sa course aux étoiles
Car brusquement c’est le soir
Je suis celui qui veut à boire
Et s’en remet au hasard
Pour les jugements à surseoir
Ainsi va ce cérémonial
Un chien, un os à moelle
Lequel est primordial
Parmi la flopée de Graal ?
Quand réapparaîtra le jour
La furie reprendra son cours
La nuit se pare d’un autre voile
De sa course aux étoiles
Le plaisir, des aires d’autoroute
De Babylone à Beyrouth
Les joutes
Toutes
Me dégoûtent
Alors mon armée s’arc-boute
J’ai pris le mauvais chemin
Son corps est triste refrain
J’aurais dû connaître le mien
Savoir qu’il nierait pas loin
La nuit se pare d’un autre voile
De sa course aux étoiles
Quand réapparaîtra le jour
La furie reprendra son cours
Un jour au bord de l’autoroute
il choisira une autre route
le nez planté dans les étoiles
A vomir tout son gasoil
Il la verra au bord du chemin
parée d’un autre voile
belle comme le graal
¸¸.•*¨*• ☆
N’est-ce pas la voix de la Dame du Lac que j’entends ?
Merci Celestine pour venir mettre au-dessous de mon texte un peu d’optimisme.
Bises.
On ne se refait pas…
Bien beau texte très ambigu où je crois déceler l’inquiétude à travers « mauvais chemin » et « j’aurais dû ». Amitié l’ami.
Oui, un texte sur les questions et les doutes d’un Arthur dans ses quêtes du quotidien. Merci Claude. Amitiés.