J’aime à penser
Que Marie est soeur de Bonnie
Avec un Clyde qui souvent varie
Son corps transpire la rébellion,
Le bruit, la fureur, l’insoumission
Elizabeth – Betty pour les intimes
Est devenue une sorte de victime
J’aime à penser
Que Léa a tout de l’espionne
Qu’aucune des trahisons n’étonne
Qu’on ne lui fera pas donner
Là sa véritable identité
Astrid – est encore un mystère
Mais je trouverai quoi en faire
Nadine – souvent, je n’y crois pas
Mais bien sûr, parfois, je la vois
J’aime à penser
Qu’Irina est la femme d’un mari
Cette circonstance a pour fruit
Des kilomètres d’insolence
Cachés sous des apparences
J’aime à penser
Qu’Esther n’aura jamais peur
De toute vitesse, de toute vie
Et que pour elle la pudeur
N’est jamais que du mépris
Mélanie – moi, tout mon être
Et mon prénom en sept lettres
J’ai ma pensée
J’aime à penser et …
Ça m’fait penser : Peut-être
Il me faut une autre Elizabeth
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